Les gros bâtons

Les big sticks, une équipe parmis les nombreuses nouvelles équipes. Le capitaine massif ( petite exagération), Alexy Symons-Belanger voulait créer une équipe aussi assoiffée pour des victoires que lui.  Il n’est pas aller chercher les plus forts ou les plus gros, cela est évident avec le poids moyen à environ 155 lbs pour l’équipe. Mais l’équipe remplie de jeunes ( et quelques plus vieux) joueurs prêt à tout faire pour gagner vont surprendre cette année. Mais d’ou vient cette équipe mystérieuse?  Les Big Sticks  ont été conçus à la manière des fameux Mighty Ducks, du talent cru pour différents éléments du jeu réunis de partout du Quebec , de les Cèdres jusqu’au trou d’Hochelaga Maisonneuve. Le capitaine, A.K.A  » le traitre  », ex-coéquipier du grand commissionaire, voulait partir son équipe non seulement pour rivaliser Dan et ses coquerelles, mais pour boire de la grande coupe, un rêve inachever depuis longtemps pour notre  seul et unique Modano. Chaque joueur de l’équipe connait son rôle très important et précis. En premier ça commence par notre gardien, Simon Pichette, un agent libre engagé après une partie magistrale de sa part. Depuis, il est notre mur solide sur lequel on s’appuit un peu trop lorsque la marque est serrée, mais il ne casse pas( 5 départs = 5 victoires, le nouveau Micheal Leighton). Sa job: arrêter toutes balles rouges de tout genre, assez simple mais pas si facile.  Puis, on a notre attaque explosive mené par des anciens et des moins anciens. Yves, Frank, Virano (aucune idée sa vient de quelle culture, mais c’est toujours drôle voir les nouveaux massacrer son nom genre; Vibano? Viano? Varino? pauvre petit….) et Modano. Chacun aime bien poter des beaux buts, (surtout Modano, on dirait c’est son premier but en carrière à chaque fois) mais ils ont pas peur de faire la job sale dans les coins. Le pire c’est que vous aurez pas peur quand ces joueurs vont arriver en votre direction à full pine, mais méfier vous de ces premières impressions, car ils vont vous l’enlever. Sans eux, on serait les Devils tout craché et nos matchs seraient aussi diverstissants qu’écouter Joel Bouchard répondre à ces questions stupides des « amateurs d’hockey » durant la 3 eme période… Finalement, la défense consiste d’une bête sauvage mais bien dresser quand même, Alex Lacoste. Le Lindstrom, le Pronger, le Doughty de notre équipe. Suivi de Louis, notre Paul Martin, calme , précis et toujours à son meilleur quand sa chauffe. Tout cela est bien beau dans une équipe, mais il nous manque un agitateur, une machine a parler, un fou! Marc-André, un genre de Subban, jeune offensif et rempli de mots qui ne veulent que sortir de ça bouche. Mettons que notre banc de joueur n’est jamais silencieux… Finalement, le capitaine, un ex-gardien devenu défenseur, oublie défois qu’il n’est plus gardien et s’amuse à collectionner des beaux bleus partout (sa donne un teint plus foncé sur ma peau blanche, faut toujours voir le positif). Si jamais vous nous affronter. essayez donc de nous identifier. On voudrait bien savoir nous aussi contre qui on a affaire.   LES GROS BATONS Match contre les Machines: Les Big Sticks (4-1) gagnant de 4 de suite depuis les nombreux changements du personnel cherchait de se rapprocher du premier rang contre les Machines, une équipe intense qui venait de perdre contre Marc bureau. Un départ canon des Big Sticks leur donna une avance de 4-0, malgré leur manque de certains joueurs importants. Mais les Machines n’ont jamais ralentie la machine du début jusqu’à la fin. 4-0 après la demi, on avait un présentiment que le match allait se rapprocher. En effet, après 2 buts rapides, les gros batons se sentaient moins comfortables pendant que les Machines se nourrissaient sur le momentum.  Grâce à un jeu brillant de Modano qui portait la marque à 5-2 tout semblait fini, mais quelques secondes plus tard la réplique des Machines. Pour finalement gagner la partie 6-5, but gagnant de Frank Bouchard d’un tir qui semblait inoffensif, les gros batons ont du jouer la trappe à la lettre pendant les 2 dernières minutes et ils ont pu empêcher l’équipe adverse de décocher un bon tir. Ladies and gentlemen, ceci était un match à l’allure des séries, un match de guérriers. Nous avons déjà hâte au rematch!