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Reportons nous au repêchage amateur de la ligue nationale de hockey de 1980. Les Canadiens ont le droit au tout premier choix de la première ronde. La dernière fois que le CH avait été accordé ce droit fut en 1971 lorsque Guy Lafleur se joint à l’équipe qu’il mena à la gloire pendant toute une décennie. Les attentes étaient élevées, et un jeune québécois du nom de Denis Savard faisait bien parler de lui et était évidemment déjà le favori de tous les fans du club Montréalais. Pourtant à la surprise de tous, c’est un dénommé Doug Wickenheiser qui fut sélectionné par la direction du Canadien comme premier choix au repêchage. Denis Savard fut finalement choisit 3e par les Blackhawks de Chicago après Dave Babych. Comme nous le savons, l’histoire finit par donner raison aux choix des Blackhawks, puisque tandis que Savard s’amusait à connaître des saisons de 121 et 131 points, Wickenheiser, de son côté s’efforçait de faire valoir sa sélection au repêchage avec de piètres résultats. Après avoir tenté sa chance avec 5 équipes différentes, Wickenheiser pris sa retraite avec une fiche de 286 points en 556 parties. Savard en amasserait 1338 en 1196 parties. C’est peut-être pour tenter de réparer cette bévue que les Canadiens échangèrent Chris Chelios aux Blackhawks contre Denis Savard le 29 juin 1990. Malheureusement, Savard ne connut jamais les grands succès de ses belles années pendant les 3 saisons passées à Montréal et après avoir gagné la Coupe Stanley avec les Canadiens en 1993, il signa avec les Lightnings de Tampa Bay. Que dire de Chelios: il gagna deux trophées Norris avec Chicago à titre de meilleur défenseur du circuit, et il termina même la saison 1992-93 avec 73 points – Savard en récoltait 50 la même saison avec Montréal. Bref, Savard joua 3 saisons à Montréal et pris sa retraite (de retour à Chicaco) en 1996-1997 et Chelios joue toujours dans la ligue nationale à 45 ans. C’est à croire que la saga du « Choix Wickenheiser » continue de s’étirer 26 ans plus tard! Et que faudrait-il penser si la direction du CH échangerait un jeune espoir comme Guillaume Latendresse contre Chelios? Ce serait donner un tout nouveau souffle à cette série de décisions malchanceuses! par Boris Richard

Les balles de hockey cosom coûtent entre 2 et 3 $ mais sont trop légères et rebondissantes pour être utilisées comme tel. Voici quelques conseils pour bien les choisir et les préparer: Couleur: Même si elle n’affecte aucunement la qualité de la balle, le blanc est la couleur la plus visible sur les planchers brûnatres. Poids: Il est important d’alourdir les balles pour en limiter les rebonds. Les chiffons J (en vente à l’épicerie) sont la meilleure solution car ils se déchirent facilement et, contrairement aux autres tissus, ils ne s’effilochent jamais. Plus on remplit les balles plus elles rebondissent. 2 chiffons J par balle est vraiment le maximum. La meilleure façon de les remplir est en poussant les chiffons avec un crayon. Solidité: Plusieurs personnes recouvrent les balles de tape électrique pour les solidifier et les alourdir. Même si je préfère la touche des balles sans tape, ça a l’avantage de prolonger la vie des balles mais, il ne faut pas se faire d’idées, la durée de vie d’une balle demeure de 2 à 8 games…

La saison hiver 2007 approche et plusieurs joueurs et équipes sont à la recherche d’une ligue de hockey cosom amicale et amusante à Montréal. Le réflexe habituel serait de chercher sur Google mais, qu’arrive-t-il quand les résultats sont corrompus? Actuellement, en cherchant pour les mots « hockey cosom Montréal« , les 20 premiers résultats retournent une variété de ligues (cosom.org, lhcm.net, deltacosom.com , etc). En toute apparence, le joueur ou l’équipe à la recherche n’aura pas de mal à trouver une ligue de qualité mais, si l’on regarde en profondeur, on réalise que, sur 20 résultats, il n’y a que 5 différentes ligues dont 2 sont associées. Intéressant de voir que la majorité de ces ligues ont le même numéro de téléphone… La mafia du cosom y est surement pour quelque chose…